Ivane Béatrice Bellocq – presse et livre d’or (composition)
• « Ton « Triptyque » est miraculeux, il ne faut rien y changer. Tu dois d’ores et déjà te convaincre que tu seras compositrice. »
Olivier Greif, compositeur (Académie d’Annecy, 1978)
• « J’ai défendu l’œuvre de cette toute jeune compositrice auprès de mes collègues du jury parce qu’elle est parfaite; je suis heureux qu’elle remporte ce prestigieux concours »
Alexandre Tansman, compositeur, Président du jury du 24ème concours international de Radio-France (1982)
• « Cette sonate d’Ivane Bellocq est une réussite. »
Yehudi Menuhin, concertiste international (1988)
• « Bravo pour votre excellente œuvre »
Daniel-Lesur, Grand Prix de Rome, membre de l’Institut (1983)
• « Voilà une musicienne sérieuse et complète, sur qui l’on peut compter et qui apporte à ce qu’elle fait foi et caractère »
Michel Debost, concertiste international, professeur au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris et 1ère flûte solo de l’Orchestre de Paris (1989)
• « J’ai été très content de déchiffrer votre musique pour piano; je trouve Mouvement très réussi. Et votre Éloge des Quintes est excellent pour les petites mains! »
Noël Lee, concertiste international (1993)
• « Il est à signaler tout particulièrement la composition d’Ivane Bellocq, une pièce originale [Pacific 232] qui fit la joie de l’assistance. »
Sud-Ouest (1996)
• « Les pièces solistes d’Ivane Bellocq ont été saluées par un public charmé et enthousiaste qui avait rempli la salle. Ce programme sera repris la semaine prochaine en Angleterre : dommage que ce soit un peu loin! »
L’Éveil (Rouen) (1997)
• « Le festival et séminaire « Écris et joue » de Cracovie avait invité l’ensemble ProKontra, qui a notamment présenté une œuvre originale et virtuose d’Ivane Bellocq en création. »
Adam Kaczinski, Akademii Muzycznej (Cracow 1998)
• « Nous avons été très heureuses d’écouter votre fascinant Trio pour flûte, clarinette et violoncelle. Merci pour ce moment de bonheur. »
Thérèse Brenet, Grand Prix de Rome, professeur au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, et Antoinette Brenet, archéologue (1999)
• « L’œuvre la plus réussie et la plus applaudie était celle pour violoncelle et voix de la française Ivane Bellocq, intitulée « Paradise is the option » sur un poème d’Emily Dickinson. Les inhabituelles techniques vocales demandées à Marie Kobayashi, complétées par une écriture innovante pour le violoncelle de Florian Lauridon ont captivé l’auditoire. »
Tom Sankey, The Advertiser (Sydney 1999) (Barossa Music Festival, Australie)
• « Pacific 232 de Ivane Bellocq est un clin d’œil appuyé à Honegger et présente les ressources des nouveaux modes de jeu tout en utilisant un vocabulaire musical ludique et accessible »
La Dépêche du Midi (1999)
• « …Passages… », d’Ivane Bellocq, est en trois parties toujours clairement dessinées et homogènes »
Frédérick Martin, compositeur (livret de CD, 2001)
• « L’œuvre d’Ivane Bellocq sonne remarquablement. Cette compositrice français fait preuve de finesse et de maîtrise dans l’écriture instrumentale. »
Caroline Delume professeur au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris (2002)
• « A work commissioned by Opus 93, Nuit et Jour, by Ivane Bellocq, was outstanding—the most memorable composition of this program, and the strongest. It leaned toward quiet, meditative sonorities, with key clicks and breath sounds in the reeds answered by gently percussive remarks from the harp. The saxophonist, who managed to sound like a horn at times, played with amazing control. Other techniques emerging in this timbrally-oriented work include snap pizzicato on the harp, and playing the wire strings with both hands on the same side of the harp. Even the harp ‘whooshes’ performed on the wires (effected by rapidly moving the palms vertically on the strings) were a natural outcome of the preceding material, elegantly drawing the work to a close. »
Anne LeBaron Report on the 8th World Harp Congress held in Geneva, Switzerland, July 21-28, 2002
• « Une Sirénade (sic) pétillante que nous conseillerions à bien des duos [flûte et harpe] en quête de répertoire original »
Pascal Gresset, rédacteur en chef de la revue La Traversière (2002)
• « Voilà une compositrice avant tout indépendante, proche de la nature, qui ose une synthèse entre atonalité et modalité, et dont le langage est édicté seulement par des fins expressives »
David Herschel, producteur (Radio-France/France-Musiques 2003)
• « Les « Estrans » [d’Ivane Bellocq] sont magnifiques. Voilà une vraie œuvre. »
Alain Gaussin, Grand Prix de Rome, professeur au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris (2004)
• « Je viens de lire la pièce pour clarinette. Elle me plaît beaucoup. C’est une pièce très réussie et inspirée. Bravo ! »
Jean-Marc Fessard, concertiste international, professeur au Conservatoire Royal de Bruxelles (2005)
• « Le Festival International Beethoven de Bonn avait programmé cinq créations pour quatuor à cordes de jeunes compositeurs français, les deux plus intéressantes étant celles de Ivane Bellocq et de Thierry Escaich. »
Rundschau Köln (26 octobre 2005)
• « C’est l’occasion pour Dominique Boutel et Yvan Amar d’évoquer aussi bien les créations qui ont vu le jour au Châtelet grâce à Jean-Pierre Brossmann, tels le « Château de l’âme » de Kaija Saariaho ou « Le tombeau d’Olivier Greif » d’Ivane Bellocq, que les fastueux spectacles qui ont marqué ces dernières années : Felicity Lott en « Belle Hélène », ou plus encore « Les Troyens » de Berlioz dirigés en version intégrale par John Eliot Gardiner et mis en scène par Yannis Kokkos. »
annonce officielle figurant sur france-culture.com de l’émission Un poco agitato consacrée à Jean-Pierre Brossmann, directeur du Théâtre du Châtelet (23 janvier 2006)
• » le CD que tu m’as envoyé est formidable! Que tu joues bien! J’aime spécialement ton oeuvre « (très-petit) », les Ohana, le Gaussin et le Brenet. »
Noël Lee (16 juillet 2006)
• « Cette belle réalisation [Puzzle pour orchestre] a beaucoup enrichi les élèves (et moi-même). »
Bertrand Malmasson, chef d’orchestre (29 septembre 2006)
• « Le public a vraiment apprécié son côté humain, chaleureux et abordable »
Évelyne Aymard, Bezons infos (décembre 2006)
• « Bravo pour ces très belles pièces »
Jean-Marc Chouvel (revue filigrane, Université de Reims) (juin 2007)
• « Oui, j’ai enregistré une œuvre d’Ivane Bellocq avec Nicolas Bringuier au piano. […] C’était la première fois que je travaillais avec un compositeur ou une compositrice : très belle expérience, ressentie aussi comme un honneur puisque l’œuvre nous est dédiée. »
Fanny Clamagirand, violoniste, concertiste internationale; entretien avec Isabelle Perrin, ResMusica (3 novembre 2007)
• « Bravo pour ce superbe concerto [pour ondes Martenot]. »
Florentino Calvo (avril 2008), concertiste international
• « Merci pour cette pièce vraiment passionnante » [« Palmes » pour viole d’amour]
Pierre-Henri Xuereb (octobre 2008), professeur au Cnsmd de Paris, concertiste international
• « J’ai beaucoup aimé votre concerto pour Ondes Martenot! »
Jean-François Zygel (mars 2009) professeur au Cnsmd de Paris, producteur à France Musique et Antenne 2
• « Une œuvre musicale originale… une vraie performance » [Meduana]
Le journal du Pays de Mayenne (mai 2009)
• « Vraiment c’est un bonheur total!! Il est génial absolument génial ce morceau là aussi!!! » [Sirénade pour flûte et harpe]
Édith Azam, poètesse (juin 2009)
• « Un événement exceptionnel… une œuvre dantesque » [Meduana]
Ouest-France (1er juin 2009)
• « Le concert Meduana va rentrer dans la légende! »
Le courrier de la Mayenne (4 juin 2009)
• « … Œuvre magistrale de la compositrice Ivane Bellocq » [Meduana]
Le Publicateur Libre (11 juin 2009)
• « …Dans la famille Queyras, je demande aussi le frère aîné, Pierre-Olivier, directeur artistique du
festival, et époux de la violoncelliste Véronique Marin, tous deux constituant avec Frédéric Lagarde le Dumky Trio, autrefois Trio des Iscles, du nom de la demeure familiale des Queyras. Ils donnent la création du Deuxième trio de Bellocq: ainsi que l’explique la compositrice, on n’entend toutefois que les trois premiers des cinq mouvements de cette commande qu’il a reçue des «Rencontres». Il faut donc pour le moment se contenter d’imaginer la suite de cette structure en arche, s’ouvrant et se concluant sur des mouvements d’assez grand ampleur (une dizaine de minutes chacun), «sortes de rêveries parfois vives», les deuxième et quatrième mouvements étant quand à eux des scherzos moins développés (cinq minutes), comme le mouvement lent central, dont la «difficulté principale» est qu’il «s’y trouve très peu de notes à jouer». Malgré cette économie de moyens, la musique ne se refuse pas à l’expression, un peu à la manière d’Oliver Greif, dont Bellocq a été l’élève, ou de Nicolas Bacri, notamment dans un scherzo très rythmé, aux ostinati jazzy et caustiques, parfois même violents. Assez curieusement, l’écriture, multipliant les soli (violoncelle puis piano dans le premier mouvement, piano dans les deux mouvements suivants), semble s’ingénier à pervertir le genre, les trois instruments donnant l’impression de privilégier le dialogue à distance sur la polyphonie. »
Simon Corley, ConcertoNet.com The Classical Music Network (29 juillet 2009)
http://www.concertonet.com/scripts/review.php?ID_review=5770
• « … cette œuvre [Soleil noir] plaît particulièrement aux jeunes qu’elle séduit autant qu’elle les déroute. »
Christel Rayneau (24 octobre 2009)
• « Bellocq possède l’un des talents les plus originaux de la musique actuelle. […] Ce disque [Obsession, chez Dux] apparaît comme l’acte de naissance d’un compositeur important et réussit à intriguer suffisamment pour donner envie d’en entendre plus. ».
Fred Audin, Classique Info (25 novembre 2009)
• « Ivane Bellocq, flûtiste et pédagogue estimée, est passée avec succès à la composition.
Le trait le plus intéressant de cette musique réside en ses liens très forts avec la littérature et la peinture.
Bellocq joue avec les conventions, expérimente avec les sons et les rythmes et donne aux musiciens invités l’occasion de briller. »
Hanna Milewska Muzyka (février 2010 – traduction Barbara Sliwa)
• « Ivane Bellocq, flûtiste française (élève de M. Debost et R. Bourdin), est également une compositrice « pas comme les autres » : élève d’Olivier Greif et de Max Deutsch, elle brille par son originalité, sa curiosité intellectuelle et ses recherches très poussées dans le domaine des sonorités et des timbres. Les interprètes font preuve d’une incroyable virtuosité et d’une concentration extrême. »
Édith Weber, professeure émérite à l’Université Paris-Sorbonne, revue L’Éducation Musicale (mai 2010)
• [CD Obsession] « Bellocq signe là une très belle réussite. […] Un ensemble de musiciens exemplaires est réuni autour d’Ivane Bellocq, compositrice inventive qu’on qualifierait volontiers de « classique d’avant-garde », pour reprendre une expression autrefois appliquée à Dutilleux. »
Michaël Sebaoun, revue Classica (mai 2010)
• [CD Dédicaces de Jean-Marc Fessard] « Difficile de résister à la jubilation qu’insuffle à ces pages notre interprète grâce à son jeu souple, dense et énergique. Un sans faute. »
Ph. D., revue Péché de Classique (juin 2010)
• « [Ivane Bellocq] invente un univers surprenant, séduisant. Le Trio déconcertant est une œuvre complexe, virtuose, de belle facture. Les trois Anachroniques (2005) pour récitant-e et flûtiste sur des poèmes du surréaliste Alexandre Karvovski sont d’une force peu commune. Tous les instrumentistes servent admirablement ces œuvres, dont Ivane Bellocq elle-même à la flûte. » [CD Obsession]
Jean-Luc Abras, revue Traversières n°98 (2010)
• [CD Obsession] « Vous êtes un personnage « extraordinaire » et votre talent déjà bien connu va être reconnu à sa juste valeur. »
Andrée Brayer, chef d’orchestre et directrice du CRR de Cergy-Pontoise (août 2010)
• « une imagination créative débordante »… « une compositrice pas comme les autres »…
Édith Weber), professeure émérite à l’Université Paris-Sorbonne, Cahiers de Sociologie Économique et Culturelle (février 2011)
• « Palmes, pour viole d’amour, est une réussite absolue. Pierre-Henri Xuereb y est parfait. Et les Citrons éclatés du silence, par l’étonnant Florentino Calvo, sont faits de lignes constamment captivantes. »
Lucien Guérinel, émission « Résonances », Tropique FM (3 mai 2011)
• » ‘Au-delà de la musique sacrée’. Brio et virtuosité; cette prestation avait déjà été très remarquée en novembre 2013 à Lübeck, Hambourg et Hanovre. » [à propos de Au-Delà, pour chœur – direction Thibault Lam-Quang]
Édith Weber), professeure émérite à l’Université Paris-Sorbonne, revue L’Éducation Musicale (février 2014)
• « Une œuvre séduisante et originale. » [à propos de ‘Tre Donne’ pour voix, ondes et guitare]
Wim Hoogewerf, guitariste de l’ensemble l’Itinéraire (mai 2014)
• « Le public a également beaucoup apprécié Ivane Bellocq comme compositrice, et a demandé un bis de son œuvre » [« Suite slave »]
L’Écho Républicain (9 décembre 2014)
• « Les interprètes maîtrisant toutes les difficultés d’intonation, notamment dans l’aigu, réservent un sort royal à ces œuvres [de Bacri, Bellocq et Kremski] si chargées de spiritualité, d’expressivité et d’intériorité » [CD « Création »]
Édith Weber, professeure émérite à l’Université Paris-Sorbonne, revue L’Éducation Musicale (novembre 2015)
• « Je suis fascinée par la personnalité exceptionnelle d’Ivane Bellocq. Que faut-il admirer le plus : l’interprète flûtiste hors pair, la compositrice inventive, éclectique et prolifique — associant classicisme, modernisme et avant-gardisme ? Écoutez et ré-écoutez impérativement son nouveau disque « Vent d’Est ». »
Édith Weber, professeure émérite à l’Université Paris-Sorbonne, revue L’Éducation Musicale (décembre 2015)
• « Ta pièce [Carillons, pour piano] plaît beaucoup et les sons des balles de ping-pong font craquer tout le monde ! »
Tristan-Patrice Challulau, pianiste et compositeur, 30 Prix internationaux (24 avril 2016)
• « Flûtiste magnifique ! On a énormément aimé sa propre Suite Slave. C’est une œuvre profonde, qui relève de l’inspiration populaire imaginaire. Et Bartók est délicieux – pourtant je suis pianiste ! » [CD « Vent d’Est »]
Aquiles delle Vigne, concertiste international, professeur au Mozarteum de Salzbourg (avril 2016)
• « Le catalogue pour flûte seule s’étoffe encore dans les années 1990, avec Luis de Pablo (Melisma furioso, 1990), Elliott Carter (Scrivo in vento, 1991), Dominique Lemaître (Côté jardin, 1991), Ivane Fedele (Donax, 1992), Eric Tanguy (Wadi, 1992), Philippe Hersant (Miniatures, 1995), Bruno Mantovani (Früh, 2000), Suzanne Giraud (Afin que sans cesse je songe, 2002)…
On mentionnera en outre, parmi les voix originales d’aujourd’hui, celles de Jean-René Combes-Damiens, Sophie Lacaze, Ivane Bellocq. »
revue La Lettre du Musicien (juin 2016)
• « Votre partition est hallucinante!
Vous êtes allée me « prendre » dans le vif de moi-même, dans l’écorchement, et le résultat est époustouflant. »
Lucien Guérinel, poète (mars 2018)
• « La journée d’hiver d’un écureuil roux d’Ivane Béatrice Bellocq (en création par la flûtiste à bec Marion Fermé) fut un éclair de grâce jubilatoire. Il est rare d’entendre une flûte à bec « utilisée » d’une façon à la fois aussi moderniste (souffle, sifflements, théâtre instrumental, etc.) et poétique (ici, tous ces effets ne sont nullement étalage aride d’effets spéciaux ultra virtuoses, mais, participent à engendrer spontanément un climat de merveilleuse et belle candeur poétique … Grâce aussi, il est vrai, à un engagement magistral de l’interprète !). »
Pascal Arnault, revue des Amis de la Musique Française (24 mai 2018)
• « Jean-Marc Fessard was the clarinetist in the portrait recording of Bellocq’s works on the DUX label. « Prelude » juxtaposes melodic/harmonic ideas based on pitch centers, with careful attention to expressive dynamics, against quarter-tone inflections and whimsical twitterins reminiscent of Messiaen’s birdcentric melodies.
The repeated pitches of « Incantation » and unwawering forte senza diminuendo marking give the slow legato lines a solemnity of expression.
« Danse » provides relief from the intense nature of the preceding movements with rhythmic atterns and mixed meters ideas while staying in Bellocq’s modernistic atonal sound world. […] »
Gregory Barrett The clarinetist / International Clarinet Association (june 2019)
• « Ta musique est forte et belle, et toi, géniale ! »
Patricia Nagle, flûtiste
(19 septembre 2019 à propos de la Sonate d’IBB par IBB le 14 septembre 2019 à Paris)
• « Œuvre de jeunesse, sa remarquable Sonate pour flûte et guitare mêle […] des accents jazz et même jazz-rock au langage du 5ème quatuor de Bartók »
Michaël Sebaoun, musicologie.org (mars 2021)
cd « Béatrice Bellocq se divertit avec Roger Bourdin »
• « Magnifique, vraiment ! » [à propos de Je suis Marina T. pour orchestre]
Annie Ploquin-Rignol, flûte solo de l’orchestre Perpignan-Méditerranée et professeure au CRR de Perpignan (16 septembre 2021)
• « C’est tout simplement magnifique – d’une extrême délicatesse. » [à propos de Je suis Marina T. pour orchestre]
Marielle Anselmo, poétesse et professeur à Langues’O (Sorbonne) (16 septembre 2021)
• « J’ai absolument adoré ta réécriture de la partita [IBBWV 1013, disque « Béatrice Bellocq se divertit en compagnie de Roger Bourdin »] : loin de l’anecdote ou de la facétie (quoique !) tu réalises une œuvre kaléidoscopique et passionnante. Un très grand bravo !
Yves Charpentier, fondateur et flûtiste du Concert Impromptu (19 septembre 2023)
• » Je viens d’écouter ton divertissement avec Bourdin, c’est vraiment très très bien; j’aime beaucoup ta Sonate avec guitare. »
Clara Novakova, flûte solo de l’Orchestre de chambre de Paris (Ensemble Orchestral de Paris) et des ensembles Denojours et Entretemps, Associate Professor of Flute at the Soochow University in Suzhou (Chine)
(10 octobre 2023)
• « C’est du très beau travail et cela fait du bien de l’entendre.
J’ai beaucoup aimé particulièrement Fragments de mer, et ton quatuor de saxophones, particulièrement réussi.
Bravo ! »
Florentino Calvo, à propos des disques OCQ-AT 02 Fragments de mer & OCQ-AT 03 La suite dans l’étrange
(24 octobre 2023)
• « La flûtiste et compositrice reprend à son compte l’un des penchants favoris de son maître Roger Bourdin, celui de s’approprier quelques musiques célèbres afin d’y laisser libre cours à son inventivité. L’Allemande de la Partita de Bach, complètement transformée par Béatrice Bellocq, en surprendra plus d’un par la liberté parfois très contemporaine de ses digressions ! […]
Quant à la Sonate pour flûte et guitare d’Ivane Béatrice Bellocq elle-même, elle débute en évoquant par ses ostinatos la musique des pays de l’est, avant d’offrir une section lente tendue et envoûtante, puis un Finale aux allures de mouvement perpétuel, véritable tour de force. Brillante et concertante, elle mériterait d’être bien plus souvent jouée.
Denis Verroust, Président de l’Association Jean-Pierre Rampal (AJPR, ancien Président de l’Association Française de la Flûte
(Traversières magazine n°146, 3ème trimestre 2023)